le dicton du jour

vendredi 14 juin 2019

sans titre, Javier Torés Pérez

Une journée dans un petit village en Afrique australe ,habité par de nombreuses familles
d'animeux, comme le coq présomptueux ,élégant et Galan, la Poule rousse et ordonnée
et son fils le poulet rond,jaune et petit.
Plus tard, le poulet sortit pour jouer avec son ami l’écureuil brun avec une longue queue
et sympathique, soudain, ils entendurent un aigle noir avec de grands yeux et grand bec,
les deux amis ont commencé à courir, l’écureuil a grimpa à un arbre voisin et le poulet
a commenca à courir en direction du L lac des canards et tomba dans l’eau.
Son ami l’écureuil a commencé à le chercher à la maison des parents de poulets.
SQUIRREL:Chick est en danger.
Qu’est-ce qui s’est passé?
SQUIRREL:nous avons joué quand un aigle est apparu et tubimos à courir et ne pas le trouver.
GALLO:Fast on va le trouver.
Tous ensemble est allé chercher poussin à la maison de m. Tiger raffiné, furtif et avait une longue moustache.
GALLO:Bonjour avez-vous vu la peau de poussin?
TIGER:non, que s’est-il passé?
SQUIRREL:nous avons joué quand un aigle est apparu et tubimos à courir et ne pas le trouver.
TIGER:Quick! on va le trouver.
Tous ensemble sont allés chercher poussin à la maison de m. Duck, qui avait un bec aplati, plumes sombres et les jambes oranges.
GALLO:Bonjour avez-vous vu la peau de poussin?
DUCK:Oui! Il est tombé dans le lac et maintenant il joue avec les canetons dans le Corral.
POULE:moins mal quelle joie!


à la fin tous ensemble passé l'après-midi à jouer et à chanter

Le naufragé convaincu, Claudia Solano Jara



Il y a longtemps, la police patrouillant le long de la plage rencontra un immigrant et l'interpella;

-Bonsoir

- Bon après-midi, monsieur l'agent

- Pourriez-vous nous fournir vos papiers?

- Excusez-moi, je viens d'Afrique, guidé par des animaux et, ils ne m'ont jamais rien dit à propos d'avoir besoin des papiers.


L'agent de police sembla surpris d'apprendre que les animaux le guidaient.

- Êtes-vous sûr de ce que vous dites?

-Oui, mons
ieur l'agent. La fourmi m'a dit: “ Chez nous, si les fourmis me trouvent plus de quoi manger aux alentours on déplace la fourmilière, on part ailleurs”.


- Le lion et la baleine ne m'ont jamais rien dit à propos d'avoir besoin des papiers, ajouta t-il.

- Le lion m’a dit: “si c'était moi, je partirai au nord, toujours vers le nord. Là, il n’y a pas de guerre, il y a plein de nourriture partout”. Et la baleine m'a avalé et a vomi sur la plage de l'autre côté de la mer et me voilá ici. C'est ça que j’ai fait monsieur l'agent.


L'agent de police essaya de croire ce qu'il avait dit malgré son étonnement et appela la baleine.


- iua iua iua


La baleine s'approcha  rapidement.

- Agent, vous m'avez appelé?

- c'est toi qui as amené cette personne sur nos côtes? sans papiers


- Oui, M. Agent, nous avons dû passer beaucoup de difficultés pour ici et nous pensons que les bonnes personnes ça continue d'exister.


L'agent de police, qui n'etit pas un méchant homme, après avoir réfléchi a dit:

- Baleine, monsieur, je suis désolé, mais la loi de notre pays nous interdit d'autoriser des personnes sans papiers ni permis de résidence à traverser la frontière. Mais, ne vous inquiétez pas, nous vous enverrons dans votre pays.


C’est depuis ce temps-là que les lions s'affrontent aux hommes, que les fourmis font des longs chemins pour récolter des grains, que les personnes font de longues marches quand dans son pays éclate la guerre.

Le marchand pas sage, Elvira Carrillo Morato

Un jour, une montagne a grimpé un marchand, un âne et un cheval. L’homme allait de
l’avant et les bêtes derrière.
À mi-chemin de la colline, le pauvre âne haleta:

- Aidez-moi, ami cheval, je ne peux pas marcher! Veuillez charger quelques sacs sur
votre dos. Je manque de force, je tombe, je meurs. Je ne peux pas faire un pas de plus.

Le cheval di:

- Tu plaisantes? Tu es une bête de charge; moi, je suis un cheval et je ne porte que des
cavaliers sur moi. Je suis grand, tu es petit, je suis intelillent, tu es stupide; je suis beau,
tu es moche. En plus -ajouta le cheval-, je suis le responsable des amusements de mon
maître et des ses promenades dans la fôret. Le pauvre, qui était extrêmement fatigué, ne
pouvait plus lui répondre. Dix pas plus loin, il s’effondra, cassa sa pipe, mordit la
poussière et creva. Pauvre âne, si gentil et travailleur!

- Comment est-il possible qu je sois si d’avoir mis tout le fardeau sur le pauvre?- se dit le
marchand attristé.

Alors, il ordonna le cheval de s'arrêter, il mit les sacoches avec les carafes à huile et les
sacs de farine sur le dos du cheval. Le marchand prit également une corde, attacha à la
selle l’âne mort et ordonna de partir au cheval.

Le fier cheval qui n'avait pas voulu partager le fardeau avec son compagnon, finalement
fût obligé de se charger de tout. C’est pourquoi vous devez partager votre travail et
donner un coup de main lorsque quelqu’un vous le demande.


C'est là que le conte alla tomber dans la mer.

Namaste, V. Vitaliy Pedrajas Delgado



Il était une fois un garçon appelé Jerónimo qui vivait  dans une ferme avec ses parents.
Jerónimo qui pouvait entendre grandir l’herbe  était très curieux de la nature. Un jour,
quand Jerónimo marchait à travers une prairie verte et fraîche avec des herbes très
hautes  remarqua quelque chose d’étrange Dans le chemin, entre les plantes, il y avait
un petit médaillon avec un mot qui dit: NAMASTE. À côté du médaillon, il y avait une
note dans laquelle on pouvait lire:
Si vous le prononcez trois fois, vous pourrez parler à n’importe quel animal.


Jerónimo rentra chez lui avec le médaillon et la note. Le lendemain, ses parents partirent
en ville faire des courses, alors Jeronimo   dès qu'il fut seul, prononça trois fois les mots.
Tout à coup, les bêlements des moutons, les caquètements des poules, le braiment de
l'âne se transformèrent en langage parlé. Alors, Jeronimo qui était très curieuxet qui
entendait l'herbe pousser depuis qu'il était petit , décida de parler avec eux. Il  aborda
d'abord la poule:


- Bonjour madame poule, vous savez pourquoi l’herbe pousse?, lui demanda Jerôme très
poliment.
- Je ne connais rien des plantes, je ne sais que pondre des oeufs. Demandez au mouton,
il mange toujours de l'herbe, peut-être il le sait.


Il alla à la rencontre du mouton et lui demanda:

- Mouton savez-vous pourquoi l’herbe pousse?

- Moi, j’aime l’herbe, son goût  est très agréable et elle est riche en vitamines et minéraux,
mais je ne sais pas pourquoi ni comment elle pousse. Va demander à quelqu'un d'autre
plus sage que moi.


Comme par hasard, il rencontra l’âne en train de faire sa petite sieste du matin.

- Bonjour Monsieur âne, vous savez pourquoi l’herbe pousse?, lui demanda Jerôme
très poliment.

- Voyons, petit, l’herbe pousse grâce à mère nature qui a créé  le soleil et l’herbe et les dents des animaux qui la mangent. Plus on en mange, plus elle pousse.


Le conte a répondu, il se tait.

La chance les accompagne, María Vidarte Vidarte



Il était une fois un petit village où le bonheur et la convivialité étaient des biens partagés
par tous. Mais le malheur n'épargne personne et non plus ceux qui sont heureux.


Un jour, il y eut une terrible inondation au village. Leurs maisons s’étaient remplies
d'eau  du jour au lendemain et elles étaient sur le point de s'effondrer car elles étaient
construites avec des adobes, des briques faites avec de la paille et de boue. Alors, pour
sauver leurs maisons d’une destruction certaine, les villageois décidèrent de demander
de l'aide aux animaux qui vivaient autour d'eux. Ils pensèrent d'abord à la fourmi.

- Mesdames, petites pierres, mesdames, voudriez-vous nous aider à éliminer l'eau de nos maisons, car elles sont sur le point de s'effondrer?

- Non, nous ne pouvons pas, nous travaillons toute la journée pour agrandir notre fourmilière car il nous faut stocker de la nourriture pour l'hiver. Demandez aux ours, répondirent les fourmis.

- Bon d'accord, répondirent les villageois. Vous savez ce qu'on dit à ceux qui se battent et transpirent, que la chance les accompagne toujours.


Les habitants du village  cherchèrent l'ours et lui demandèrent

- Petit ours, petit ours, petit ours  peux-tu avoir la gentillesse de nous aider à sécher nos maisons qui ont été inondées après les fortes pluies des derniers jours?

- Et comment pourrais-je vous aider?, répondit l'ours.

- Vous pourriez transporter des seaux d'eau à la rivière.


Mais l'ours qui n'avait point le goût du travail, réfusa et dit:

- Uf, il faut faire beaucoup d'effort. Allez demander à l'éléphant avec sa force et sa trompe cela ne lui coûtera rien.


- Bon, dáccord, mais vous savez ce qu'on dit à ceux qui se battent et transpirent, que la chance les accompagne toujours.


Et ils partirent à la recherche de l'éléphant.

- Élephant, éléphant, éléphant voudriez-vous nous aider à assécher notre village? Il y a eu une inondation et nos maisons sont sur le point de s'effondrer.

- Bien sûr, je vais vous aider, cela ne me coûte rien d'absorber l'eau  l'eau avec ma trompee et de la jeter à la rivière.


C’est depuis ce temps-là que les éléphants collaborent avec les hommes, que les
fourmis font des longs chemins pour récolter des grains et que les ours font de longues
marches pour trouver à quoi manger.

Le conte a répondu, il se tait.

Cela se passe encore, Amalia Vidarte Merideño

Cela se passe encore. L’histoire commence avec Hassan, un garçon qui vivait en Afrique,
et qui traversait beaucoup de difficultés à cause de la guerre dans son pays. Un jour, il
rencontra la fourmi, et lui dit:

- Bonjour, fourmi, j'ai un gros problème.  Je ne sait pas quoi faire. Je souffre, nous sommes en guerre, on a brûlé ma maison et je n'ai plus de quoi manger. Qu'est-ce que je peux faire?, raconta Hassan tout découragé.

- Chez nous , si les fourmis ne trouvent plus de quoi manger aux alentours, on déplace la fourmilière, on part ailleurs, dit la fourmi.

- Merci beaucoup fourmi, Je vais penser à ça, dit Hassan.

Et il s'en alla quelques minutes plus tard, il rencontra le lion.

- Bonjour lion, dit Hassan.

- La fourmi m'a dit que si je n'avais plus de quoi manger, je devais partir. Je marche, je marche, je marche mais je ne sais pas où aller, dit lion.

- Si c’était moi , je partirai au nord , toujours vers le nord. Là, il n'y a pas de guerre, il y a plein de nourriture partout, dit Hassan plus optimiste, et s'en alla.


Hassan qui marchait, marchait, marchait toujours vers le nord et ne rencontrait pas ce
pays où il y avait de la nourriture partout, finit par arriver au bord de la mer et dit:


- Il ne manquait plus que ça!, et s’assis, complètement découragé à pleurer sur un rocher.

Petit à petit, le mouvement des vagues lui soulagea et décida de se baigner. Tout à coup,
une grosse baleine s’approcha de lui et lui dit:

- Bonjour.


Et Hassan, qui était courageux, qui avait marché, marché, marché et ne savait toujours
pas quoi faire dit à la baleine:

- Comme c’est la guerre et que je n’ai plus à quoi manger, fourmi m’a dit de partir ailleurs, et lion m’a dit d’aller toujours vers le nord. Me voilà contre cette barrière d’eau que je ne pourrais jamais traverser et je ne sais plus quoi faire.


La baleine l’avala et le vomit sur la plage de l’autre côté de la mer. Voici comment Hassan
est venu dans le pays où la nourriture est partout.

Alors, le conte alla rejoindre la mer et celui qui le humera, entrera au paradis.